Auteur.trice.s

Audrey-Anne Marchand est née en 1991 à Longueuil. En 2010, elle remporte la mention du prix Piché du Festival international de poésie de Trois-Rivières pour sa suite « Je dis non aux histoires sans fin ». Ses textes ont paru entre autres dans les revues Exit, Art le Sabord, Saison Baroque et Lieu Commun. Depuis […]

Né en période de flagrante lucidité, Olivier Lussier est fils intermédiaire d’une famille d’êtres humains. Obnubilé par la création du mouvement continu et la conception d’un nouveau modèle d’atome, Olivier n’hésite pas à envoyer au tapis tous les paradigmes. Écrivain amateur, il compte déjà plusieurs publications sur diverses portes de frigidaires, babillards d’écoles secondaires et

Née à Montréal et bachelière en études littéraires profil création à l’UQÀM, Catherine Légaré est écrivaine de poésie et de nouvelles érotiques ainsi que rédactrice web depuis 2011. Curieuse et engagée, elle est très portée vers l’autre et elle est dotée d’une grande sensibilité. Ces qualités sont essentielles dans son quotidien professionnel, puisqu’elle travaille dans

Née en 1992 à Montréal, Julie grandit dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve. Elle affectionne diverses formes d’arts très jeune et son goût pour l’écriture s’épanouit à l’adolescence alors qu’elle ressent un enivrement, un malaise chaud pour la première fois, quelque chose comme l’amour. Elle se définit poète d’intérieur, assez discrète, encore aujourd’hui, en publiant dès 2012

Dominic Laperrière-Marchessault habite à Montréal où elle œuvre dans le domaine de la scène et des lettres. Elle a été semi-finaliste au Prix du récit Radio-Canada en 2012 et finaliste au Prix du Jeune Écrivain de langue française en 2014. On peut lire ses textes dans les revues Caractère, Ekphrasis, La Bonante, Lapsus et Virages.

Annie Landreville navigue entre la poésie et le journalisme depuis ses études en littérature à Montréal. Elle a publié Partitions aux éditions d’Orphée et Nuits malcommodes du fond d’un bar à vinyles avec la Balconnière, en plus de participer à des collectifs chez Coup de tête (Douze histoires de plage et une noyade) et dans

Né à Saint-Claude, en 1991, Anthony Lacroix tente encore de bûcher les arbres avec ses mots. Tout en terminant un bac en littérature, il s’occupe à discontinuer ses premiers recueils, à faire reconnaître sa maison d’édition ainsi que la scène de poésie à Sherbrooke (avec beaucoup d’autres). On peut retrouver de ses écrits dans plusieurs collectifs et

Adepte de la poésie que l’on se dit en face et de celle qui fait du bruit, Sophie Jeukens perçoit avant tout la poésie comme une façon de regarder le monde autrement. Elle cultive l’amour du pas pareil et du tout croche comme autant d’armes secrètes pour résister au gris. Musicienne à ses heures, elle

Maude Huard se refuse d’écrire une bio, car elle a des choses plein là tête. En voici une mince liste en rafale : une maîtrise sur le roman par nouvelles à l’UQAR, le secrétariat de la revue Tangence, l’épicerie, un projet de création dont elle n’a que le plan d’écrit, une brassée de blanc et téléphoner

Né en 1984, Nicholas Giguère a complété une maîtrise en études françaises à l’Université de Sherbrooke. Il poursuit, toujours à la même institution, des recherches doctorales sur l’évolution des périodiques gais produits au Québec. En 2006, il a fait paraître un recueil de poèmes, Analphabête love, aux défuntes Éditions du Mécène. Plus récemment, une de