En chien de faïence, de Viviane Marcotte, c’est une écriture du nord en pleine métropole. Le corps humain devient une toundra et les relations humaines, une terre sauvage à apprivoiser. Les dessins de Fred Giguère viennent s’unifier aux poèmes pour se couvrir du blanc des pages, produisant un effet qui n’est pas sans rappeler celui produit par les bourrasques durant une tempête de neige.